Diana

Il y a un mois je vous avais fait une review des caractéristiques d’une de mes dernières acquisitions, un Diana original. La première pellicule est maintenant développée (une Kodak Ektar 100) et je vais maintenant vous parler de ses capacités et de ses limites.

Tout d’abord il n’y a que quelques réglages basiques à faire (ouverture + distance) mais je l’ai trouvé très agréable à utiliser : il est léger, il tient bien en main et une photo est facile à prendre.

Au niveau des points négatifs, le boitier n’est absolument pas étanche, j’ai eu quelques petites fuites de lumière alors qu’il était recouvert de gaffer. Heureusement que j’en ai mis également sur la fenêtre pour compter les vues, sinon je pense que tous les numéros se seraient imprimés sur les photos. J’ai voulu corriger les erreurs de parallaxe en relevant l’appareil avant de prendre les photos mais je me suis loupée sur certaines où des têtes se retrouvent coupées … à éviter pour la suite. Et surtout, le premier niveau pour la mise au point est entre 1 et 2m. La plupart des portraits ont été pris entre 1,10 et 1,30m et ils sont presque tous flous. Je pense qu’en vérité il ne faut en fait rien attendre de lui en-dessous de 1,50m.
J’essaierai de corriger tout ça sur la prochaine pellicule, et ça devrait aller.

Pour le reste je pense que les meilleurs résultats sont bien sur avec un beau soleil et sur les sujets qui sont à quelques mètres de l’appareil (au-delà, donc pour les paysages, on a une sorte de flou). En pointant le soleil on obtient de magnifiques flares et apparemment mon objectif est très sale :D. J’ai aussi l’impression que le vignetage est moins important qu’avec les Diana F.
L’aspect fait très rêve sur chaque photo, c’est doux, nuageux, ça change beaucoup des SLR. J’aime beaucoup le rendu.
L’Ektar est de plus une bonne surprise, c’est la première fois que j’utilise cette pellicule et c’est très coloré, très punchy, cette émulsion est vraiment géniale.

FISE 2014 @ Montpellier

Quelques photos de l’édition 2014 du FISE (Festival International des Sports Extrêmes) qui se passe chaque printemps à Montpellier. C’est toujours un vrai plaisir d’y aller et de découvrir à chaque fois des athlètes toujours plus forts qui vont toujours plus loin.

Ces photos ont été prises pêle-mêle avec un Canon AE-1 Program (film Fuji Superia X-tra 400 périmé), un Agat 18K (pour les photos doubles, avec un film Lomography 400) et un Zenit 11 (film Fuji C100 périmé).