On m’a prêté il y a peu un Olympus OM-1N, appareil que j’adore déjà, autant pour son esthétisme, son doux ronronnement, que pour sa place dans l’histoire familiale.
C’est un beau reflex semi-automatique 35mm produit au Japon à partir de 1979, pourvu d’un objectif Olympus 50mm f/1.8. Ses caractéristiques sont assez classiques, avec une plage de sensibilité entre 25 et 1600 ISO, une plage de vitesse entre 1/1000s et 1s, un mode pose longue, un retardateur et un orifice pour trépied. Contrairement aux autres reflex que j’utilise, les vitesses se trouvent sur une bague de réglage à la base de l’objectif. Un posemètre est intégré, et lorsqu’il est allumé, une aiguille dans le viseur se met en phase avec un repère quand le couplage vitesse/ouverture convient. Il ne possède pas de griffe pour flash standard mais une griffe #4 pour flash Olympus T-20. A noter que le posemètre fonctionne avec une pile 1,5 V.
Cet individu là en particulier ronronne très bien, avec une cellule fonctionnelle et il est très agréable à utiliser. Il a tout de même deux bémols : les vitesses en-dessous de 1/60s ne fonctionnent pas (mais je ne les utilise que très rarement donc ce n’est pas gênant) ; et le film n’avance pas correctement.
J’ai testé une pellicule Kodak ColorPlus 200 pour voir un petit peu ce qu’il a dans le ventre et la plupart des photos se sont superposées, à l’exception de la première. L’avant-dernière est même une superposition de quatre photos, l’avancement n’est donc même pas régulier (et donc scanner à été assez laborieux).
Malgré tout j’aime le résultat, et j’espère qu’il vous plaira également. Merci à Woden et Sis.
Ohhh, je trouve l’effet des superpositions suuuuper cool ! J’adore cette petite série !
Darlene > Merci!
Bonjour,
Fan aussi de ce boitier, je confirme avec le temps, les vitesses lentes sont inopérantes…