J’ai eu la chance de rencontrer la magique Louise Blueregard. On a également fait une séance photo et j’ai essayé de transposer toute cette magie grâce à différents procédés argentiques, dont celui-ci : la soupe. J’appelle ça soupe car les anglophones parlent de film soup : il s’agit d’immerger une pellicule durant un certain temps (avant ou après exposition) dans les produits chimiques de votre choix pour l’altérer. Cette pellicule est mon premier test, avec une recette de ma création et du bleu de méthylène.
Minolta SRT-303b + film Fuji Superia X-tra 400 (périmé + soupe)