Premier film swap hors des frontières avec une pellicule qui me vient d’Israël de la super chouette Liat Meir, aka Forever A Sleepwalker. J’ai vraiment hâte de voir le résultat ! Cette fois ce sera du Mamyia ZE vs. Zenit 11 avec une pellicule Konika VX Super 400 périmée.
Kodak Ultra Compact
J’ai récupéré deux petits Kodak Ultra Compact dans ma famille, avec des films Kodak 800 périmés depuis 2009 et une lentille Kodak Ektanar. J’aime bien les jetables et j’avoue que j’attendais d’eux un peu plus que les résultats que j’ai eu. La plupart des photos où le flash s’est déclenché ont une tache ovale brûlée sur la droite. Je pense aussi que les batteries devaient être assez faibles car on voit nettement l’intensité du flash diminuer au fur et à mesure de l’avancement de la pellicule. Même avec une bonne luminosité la plupart des photos ressemblent à des photos prises la nuit, sombres avec beaucoup de grains. Bref, beaucoup d’images inexploitables.
Sinon le format était vraiment pratique : ils sont minuscules, ne pèsent que 100g et ont malgré ça un flash intégré. Je pense qu’ils ont mal vieilli et que le rendu aurait été vraiment pas mal avec ces appareils neufs.
Voici pêle-mêle les résultats les moins pires, avec du Grenoble, du Montpellier, du Lyon et du Dublin.
Dublin on film
Canon AE-1 Program + film Lomography 400
Dublin, Howth, Ireland’s Eye, les rues entières faites de maisons aux briques rouges, les portes d’entrée de toutes les couleurs, les églises en pierre grise, les églises tous les 20 mètres au cœur de la ville, les bâtiments aux allures de Poudlard, le cheddar, l’humidité, les quatre saisons en une journée, le viking, l’avion, le comportement des gens un peu plus posé et moins stressé, le thé, le gaélique partout, le plus vieux zoo d’Europe, l’herbe plus jaune que verte, les taxidermies parfaites au muséum d’histoire naturelle, le vent perpétuel, les glaces au chewing-gum, les parfaits fish & chips … DUBLIN WAS AWESOME.
J’en profite pour vous présenter rapidement un chouette photographe que j’ai rencontré là-bas, Markus Rollbühler, aka Moriartus. Dans un style vraiment différent du mien, il arrive à avoir de parfaits rendus, aussi bien en argentique qu’en numérique.